jeudi 12 juin 2008

La soirée du 09 juin

On clôture l'année au Studio-Théâtre


Pour clôturer l'année scolaire, quelques élèves de la classe ont exposé les travaux devant l'Administrateur générale de la Comédie-Française, Muriel Mayette, le Recteur de l'Académie de Créteil, quelques membres du Français, des professeurs du lycée Jean Renoir de Bondy et devant les parents.

Le programme de la soirée :

- Introduction du spectacle par Madame l'Administrateur générale de la Comédie-Française, Muriel Mayette
- Visionnage d'une vidéo faîte par la Fondation Lagardère.
- Présentation des partenariats, des rencontres à travers notre blog.
- Visionnage d'une seconde vidéo faîte par la Fondation Lagardère.
- Lecture de quelques articles concernant la pièce Penthésilée réalisé avec le soutien du Centre de Formation des Journalistes de Paris
- Représentation de quelques scènes de Penthésilée par des élèves de la classe et mise en scène par Léonie Simaga, pensionnaire à la Comédie-Française.

En conclusion, la soirée s'est très bien passée. Le défi a largement été réussi !
Les élèves de la classe ont passé un très bon moment. Que cela soit pendant les répétitions ou lors de la soirée. C'est donc encore une fois que nous remercions Léonie Simaga. Et aussi Mr Berthet pour ses conseils et pour son rôle dans l'élaboration de notre partenariat.

Car au final, tout le monde est fière de son travail. Et les parents présents partagent le même avis !

Quelques photos de la soirée :

Les élèves du groupe théâtre en répétition

En répétition avec Léonie Simaga

Magali et Basile avec leur costume

Dans les loges où la pression était au maximum

Et puis en classant mes photos, je me suis rendue compte que certaines valaient le détour. C'est donc à l'occasion de la fin de l'année, que je me permets de les publier. Ces dernières montrent l'ambiance entre les élèves lors de ce partenariat.


On termine avec un panorama du salon Pierre Dux qui fut jadis habité par les élèves de première ES 1.

dimanche 1 juin 2008

Vendredi 29 mai

Entraînement pour la soirée du 09 juin, Phase 2



Achille et Ulysse

Pour ce deuxième rendez-vous avec Léonie Simaga, le "groupe théâtre" a énormément avancé. En effet, chacun a révisé ses textes afin que Léonie puisse imaginer sous les conseils des élèves, la mise en scène. Assis par terre, debout sur une table, entouré d'Amazones, chaque élève a sa posture, son jeu pour son passage. Certes la soirée approche mais l'ensemble des élèves se montre motivé pour réussir. C'est sûr, à l'allure qu'ils vont, notre soirée sera très réussie. Nous ne dirions rien pour le moment mais on peut vous garantir que nos comédiens en herbe sont bons ! Certains spectateurs pourront être surpris par le talent des acteurs. Car nous avons sous la main des vrais "graines de star" !
En ce qui concerne notre prestation, nous allons réellement la mettre en scène vendredi. Évidemment, nous ferons de notre mieux pour rendre notre passage vivant et intéressant.

samedi 24 mai 2008

Vendredi 23 mai

En direct du foyer Pierre Dux pour préparer la soirée du 09 juin


Ce vendredi 23 mai, nous étions un petit groupe d'environ douze personnes à avoir été à la Comédie-Française afin de préparer avec Mademoiselle Léonie Simaga la soirée du lundi 9 juin 2008. Car rappelons-le, le 9 juin une soirée est organisée au Studio-Théâtre. Ce sera pour nous l'occasion de présenter notre travail aux yeux de tout le monde. Les élèves ont donc choisi leur passage "préféré" de la pièce Penthésilée qu'ils voulaient présenter lors de cette soirée.
Un long travail nous attends ... Cette première séance a durée environ trois heures et nous sommes (bien entendu) loin d'être au point et d'avoir fini.
Pour commencer, les élèves qui avaient déjà choisi et appris leur texte sont passés devant nous - élèves - et Léonie Simaga. Ils l'ont lu une première fois purement et simplement. Puis par la suite, des idées de mise en scène sont apparues : se mettre dans une certaine position, parler plus fort, plus distinctement. Peu à peu cela commence à prendre forme. Exercice fort difficile pour tout le monde. La timidité se fait sentir et cela est bien normal ! Il faut dire également que c'est pour la plupart, la première fois que nous sommes confrontés à ce genre de situation. Il y a un début à tout ! Mais finalement, lorsque l'on arrive à prendre confiance en soi, à faire abstraction du monde qui nous entoure et que lorsque nous sommes complètement plongés dans notre personnage, que nous ne faisons qu'un avec lui, cela donne quelque chose absolument super.

Pour notre part, nous allons présenter notre blog qui retrace l'ensemble de nos rencontres, le partenariat en général. Nous devons donc rédiger un texte puis, par la suite, un travail sera effectué avec Léonie Simaga afin d'y mettre un minimum de mise en scène également. Exercice assez "spécial" qui nous attend là. Notre texte est à l'écriture en ce moment même, nous cherchons ...

La prochaine séance devrait se dérouler vendredi 30 mai dans la matinée.
Le meilleur reste à venir ...

lundi 19 mai 2008

Le 23 mai

Nous allons rencontrer Léonie Simaga ce jour afin de préparer la soirée du 09 juin au Studio-Théâtre. En effet, lors de cette soirée Emilie et moi-même allons présenter notre blog devant les invités. C'est donc pour cela, que nous devons apprendre auprès de Mademoiselle Simaga des astuces pour que notre passage se passe au mieux.
Evidemment, nous ne serons pas les seuls à recevoir des conseils pour cette soirée. Un groupe de notre classe dit "de théâtre" va répéter avec Léonie une pièce de Penthésilée.
Un résumé de cette après-midi ainsi que quelques photos (sous réserve) seront postés dans les jours à venir.

dimanche 18 mai 2008

La pose du 14 mai

Un fauteuil, un appareil sur un trépied, quatre comédiens



Le recueil La Famille et plus précisément la pièce La Pose :

Ce livre regroupe plusieurs petites scènes d'auteurs contemporains. Le thème principal est comme son nom l'indique : La famille. Ainsi, il est question de rapports entre les parents et les enfants. Parmi les 10 pièces, La Pose de Carole Fréchette raconte l'histoire d'une famille qui cherche désespérément à faire une photo de famille à l'occasion du retour de la fille, Marie-Luce. Mais en vain, car l'appareil ne fonctionne pas. C'est justement grâce à ce problème "technique" que l'histoire, le passé, les souvenirs, les pensées, les personnalités et le futur des personnages apparaissent.

Ce livre s'inscrit dans l'une de nos lectures cursives du baccalauréat de Français.

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Mercredi 14 mai, quatre comédiens du Français sont venus nous rendre visite au lycée Jean Renoir.

Le matin :

Nicolas Lormeau, Léonie Simaga, Adrien Gamba-Gontard et Isabelle Gardien nous ont joué la pièce de théâtre La pose. La classe a pu assister à une représentation unique en son genre. Car jouer dans une salle de lycée devant un public très restreint mais surtout pour l'une des premières fois est quelque chose d'assez rare. De plus, il est à rajouter que les Comédiens-Français ont su rendre leur visite extrêmemente intéressante. Ils nous ont fait participer à la mise en scène de la pièce. Nous avons donc pu voir une première représentation imaginé par eux et une seconde imaginée par nous. Par exemple, le personnage de Gilbert était dans la première très énervé et dans la seconde absent car trop occupé par son travail. Nous avons donc pu voir dans quelle condition les comédiens changent de mise en scène mais surtout comment ils arrivent à s'y adapter.

L'après-midi :

Adrien Gamba-Gontard et Nicolas Lormeau nous ont proposé deux ateliers. Nous devions en une heure préparer une représentation afin de la montrer à toute la classe.
Le groupe de Monsieur Gamba-Gontard a joué une partie de la pièce et a imaginé ce qui pouvait bien se passé, avant et après la scène qu'il a joué. Par exemple, Magali a joué Marie-Luce lors de son entrée dans la maison familiale. En ce qui concerne le groupe de Monsieur Lormeau, nous avons chacun choisi une phrase de la pièce afin de la dire sur un fond de musique qui était Par amour de Diam's.
Mais ces représentations étaient certes différentes mais nous avons tous été surpris dans les deux cas par certains qui jouaient vraiment très bien. De plus, chaque élève avait un rôle, une place dans les ateliers. Ce qui rendait le final vraiment très bon car cela était un vrai travail de groupe.

dimanche 11 mai 2008

Vidéos de notre partenariat avec la Comédie-Française et la Fondation Jean-Luc Lagardère

Le résultat d'une année


Nous avons été ravis de visionner les deux vidéos de nos rencontres sur le site de la Fondation Jean-Luc Lagardère. Ces dernières sont celles avec Jean Lermier, metteur en scène de Penthésilée et Léonie Simaga, pensionnaire et actrice principale de Penthésilée. Nous nous permettons de mettre le lien car ces vidéos incarnent réellement l'esprit de notre partenariat.

Stéphanie et Emilie.

mardi 1 avril 2008

L'oral de notre TPE

Le déroulement

Pour l'oral, nous avions décidé de reproduire notre travail sous la forme d'un journal télévisé type "Des Racines et des Ailes". Pour cela nous nous étions munies d'un générique, d'un diaporama et d'une vidéo.

Stéphanie était la journaliste et Emilie, la spécialiste des traditions et des superstitions de la Comédie-Française.

Voici nos documents :

mercredi 26 mars 2008

Bilan personnel

Pour fermer ce blog...


Bilan de Stéphanie :


A titre personnel, je regrette de n’avoir pas pu avoir des contacts avec le ministère de la Culture et cela dans le but de leur demander leur avis concernant leur position auprès de la Comédie-Française.
Mais, l’investissement, le travail, l’organisation que nous avons fait preuve ont comblé en quelque sorte ces regrets. Je suis d’ailleurs très fière d’Emilie. Nous avons à deux concrétiser un projet qui se veut à mes yeux très respectable et intéressant. Je suis ainsi extrêmement fière d’un travail dont je suis prête à défendre.
De plus, je tire beaucoup de côtés positifs du partenariat. En effet sans ce dernier, toutes les rencontres dont nous avons pu bénéficier n'auraient pas pu être possibles.
Pour conclure je dirai que tout comme les traditions et les superstitions, ce projet a été unique et a pu déteindre sur mon investissement et ma passion pour l’histoire. J’espère simplement que nous pourrons influencer comme les traditions et les superstitions les personnes qui doutent encore de l’âme exceptionnelle de la Comédie-Française.

Bilan d'Emilie :

Ce partenariat et ce TPE se sont très bien déroulés. J’en garde un souvenir extrêmement positif. Cela m’a permis de découvrir d’autres horizons, de travailler sur le long terme sur le même sujet mais également de travailler en groupe et savoir faire des concessions car dans un groupe, les avis divergent. Lorsque l’on nous avait annoncé au tout début de l’année que nous avions un partenariat avec la Comédie-Française, je n’étais pas très enthousiaste au premier abord, va-t-on dire. Pour moi, cette institution représentait quelque chose d’assez « vieillot », un peu poussiéreux, si l’on peut dire. Une vision assez négative en quelque sorte. La première chose que je me suis dis c’est : « je vais m’ennuyer ... ». En fait pas du tout, il s’est produit exactement le contraire. La visite de Madame JUBIN a si l’on peut dire, provoqué en moi une certaine curiosité. Cela m’a donné envie au final de découvrir ce fameux théâtre qu'est la Comédie-Française. Notre groupe de TPE s’est formé tout naturellement. En effet avec Stéphanie nous nous connaissions depuis quelque temps. Ce binôme s’est donc fait par affinité mais également par intérêt si l’on peut dire car je connais ces compétences dans le domaine scolaire, que c’est une élève sérieuse. Je ne voulais pas d’un TPE qui n’avance pas et qu’au final nous nous y mettions à la dernière minute. Un choix plutôt « stratégique » de notre part. Ce groupe est finalement petit, seulement deux personnes, mais cela était notre volonté. Car comme chacun le sait, plus on est nombreux, moins cela avance. Il y en a toujours deux ou trois pour ne pas travailler et regarder les autres faire. Ce n’était pas du tout notre état d’esprit. Nous voulions être efficace et amasser le maximum de points pour le bac. En ce qui concerne le sujet, nous avions eu quelques petits différends. En effet, je nous voyais d’avantage travailler dans un domaine cinématographique, ce qui peut toucher à la communication, promotion des spectacles mais absolument pas dans le domaine « historique ». J’ai donc en quelque sorte cédé à sa demande. Au départ, nous pensions travailler sur l’histoire de la Comédie-Française, son architecture. Notre sujet a donc évolué au fil du temps. Aucune problématique n’avait donc pu être établie au premier instant du TPE. Après mûre réflexion, nous avions dans un premier temps décidé de travailler dans le domaine des traditions uniquement. Encore une fois, au fil du temps nous avons évolué dans notre démarche, et nous avons intégré à notre sujet les superstitions. Mais tout cela restait encore dans le flou. La seule chose qui était sûr, c’est que nous voulions rencontrer du « monde » à la Comédie-Française, des comédiens. Notre TPE n’a fait que changer. De semaine en semaine, il prenait une nouvelle forme : nouvelle problématique, nouveau plan etc. Le blog en témoigne ! Notre premier bilan avec les professeurs nous a mis sur la piste sur laquelle nous avons abouti aujourd’hui. Ils ont été d’une grande aide dans la réalisation du TPE, leur avis a beaucoup influencé la rédaction, il fallait « plus de mouvement » dans notre plan selon notre professeur d’Histoire Géographie ... Ce « mouvement » a été assez long à trouver il faut l’avouer. Au sein du groupe il y eu quelques petits moments de doutes. Faisons-nous bien les choses ? Est-ce vrai ce que l’on avance ? Cela a été l’un de nos problèmes majeur dans notre TPE. Nous n’étions pas toujours sûr de nous à 100%; cela a été un handicap. Nous remettions en question en permanence notre travail. Nous avions le souci de bien faire les choses. Cela dans une atmosphère assez détendue il faut le dire, mais aussi avec un peu de stress parfois. La répartition des taches s’est faite assez facilement. Nous avons chacune mis la main à la pâte dans les deux aspects de notre TPE à savoir traditions et superstitions. Il n’y a pas eu de délimitation dans nos recherches. Ce n’a pas été : « chacune fait une partie et on s’en tient là ». Marine JUBIN nous a été d’une très grande aide dans notre TPE. En effet, c’est elle qui nous a permis de rencontrer des personnes telles que Joël Huthwohl, Léonie Simaga ou encore Clotilde de Bayser. Ils ont très fortement contribué à faire avancer notre projet. Je le répète mais nos professeurs également. Nous avons pu leur faire part de nos souhaits pour notre oral. Nous voulions quelque chose qui sorte un peu de l’ordinaire, qui puisse marquer notre jury. Et puis aussi, qui nous plaise à nous, rendre ça un peu plus vivant. Car les traditions et les superstitions de la Comédie-Française, ce n’est pas un sujet sur lequel nous avons pu en rire tous les jours ! Ca a au premier abord un côté un peu historique, ancien. Nous voulions mettre une petite touche de couleur. Nous espérons que cette petite mise en scène leur plaira. Nous y avons passée beaucoup de temps à la réalisation. Nous attendons maintenant de voir ce que cela va donner, en espérant de tout cœur que cela se passera bien car nous nous sommes beaucoup investies dans ce travail.

Remerciements du groupe :

Nous tenons à remercier :

Marine JUBIN pour son aide en ce qui concerne l’élaboration de tous les rendez-vous avec les membres de la Comédie-Française et sa disponibilité.

Joël HUTHWOHL pour ses connaissances qui nous ont été d’une très grande aide et pour sa disponibilité.

Clotilde de BAYSER pour son accueil chaleureux et ses qualités humaines envers nous-mêmes.

Léonie SIMAGA pour sa gentillesse et sa passion du théâtre qu’elle a su nous transmettre.

Les costumières pour l’ouverture de leurs ateliers.

Jean LiERMIER pour son témoignage et ses belles leçons de vie.

La Comédie-Française, la Fondation Jean-Luc LAGARDERE, le lycée Jean RENOIR pour ce partenariat qui nous a permis de faire ce projet.

samedi 22 mars 2008

Bilan de notre T.P.E

Problématique : En quoi les traditions et les superstitions de la Comédie-Française en font un théâtre à part ?


Notre plan :

I. Du prestige des traditions…

1)Des facteurs singuliers
A)Une figure emblématique et un patrimoine
B)Une transmission

2)Des traditions singulières
A)Organisation de la Troupe
B)L’alternance
C)L’entreprise Comédie-Française
D)Le répertoire
E)Le 15 janvier
F)Le 14 juillet
G)L’ ordre de préséance
H)Les 6 coups

3)Des traditions influentes
A)Le Burgtheater

II. … à la richesse des superstitions.

1)Des superstitions théâtrales
A)Se dire « Merde »
B)Ne pas siffler
C)Ne pas offrir d’œillets
D)Ne pas dire « Corde »

2)Des superstitions singulières
A)Toucher le buste de Molière
B)Tenir le bâton

3)Des superstitions influentes
A)Ne pas porter de vert
(Il est à rappeler que cette superstition à deux explications, la première et la plus importante concerne la mort de Molière. Or nous savons qu'il est étroitement lié à la Comédie-Française. C'est donc pour cela que nous nous permettons de dire que cette superstition émane (indirectement) du Français)

Etude de cas :

1)Clotilde de Bayser, sociétaire
A)Profil
B)Rapport avec la Troupe
C)Ses propres superstitions

2)Léonie Simaga, pensionnaire
A)Profil
B)Rapport avec la Troupe
C)Ses propres superstitions


Conclusion : Les traditions et les superstitions de la Comédie-Française en font un théâtre à part car :

  • Elles sont uniques
  • Elles sont influentes
  • Elles déteignent sur les Comédiens-Français

dimanche 16 mars 2008

Dernière ligne droite

La lumière va bientôt s'éteindre

La fin de notre T.P.E est annoncée pour la fin de la semaine.
Après quelques mois de travail, de recherches, nous allons devoir rendre notre projet aux professeurs afin que ces derniers l'évaluent. D'ailleurs, ces dernières semaines ont été chargées. Cela est dû principalement à la restitution de toutes les informations mais surtout à la rédaction en elle-même. Nous pouvons aujourd'hui affirmer que nous sommes presque au bout. En effet, il nous reste encore la partie qui porte sur Léonie Simaga. Mais celle-ci sera achevée dans les jours qui arrivent. Et bien évidemment il reste la relecture qui est d'une extrême importance. Même si nous avons encore quelques temps, nous voulons être prêtes afin de pouvoir nous préparer à un éventuel oral qui précédera la remise des T.P.E. D'ailleurs, nous allons avoir un "avant-goût" mercredi. En effet, ce sera le jour du forum des T.P.E où tous les élèves de première présenteront leurs T.P.E aux professeurs du lycée ou encore à des visiteurs. Pour cela, nous avons préparé une affiche résumant notre plan accompagné de quelques photos.
Pour résumé, cette semaine va constituer une part importante de l'aboutissement de notre travail de toute l'année. Une fin finale qui nous l'espérons sera bonne.

mercredi 27 février 2008

lundi 25 février 2008

Le Français inspire

Pour être précis, nous le sommes



Grâce à Joël Huthwohl, conservateur-archiviste de la bibliothèque-musée de la Comédie-Française, nous sommes désormais sûres que la Maison de Molière est un théâtre influent car ce dernier a inspiré le théâtre National de Vienne ; le Burgtheater (en photo ci-dessus). En effet, d'après le site internet de ce théâtre, ils ont, comme le Français, un Administrateur avec une multitude d'employés autour, un doyen, une Troupe, des costumiers, des décorateurs... De plus, on peut dire que le Burgtheater est la Comédie-Française de Vienne car on y joue beaucoup de scènes classiques avec entre autre un certain Goethe. On parle également d'alternance de la comédie et de la tragédie. Toutes ces caractéristiques sont celles de la Comédie-Française.

Donc, ce théâtre fondé au XVIII siècle s'est inspiré "dans les grandes lignes" de l'organisation du Français instauré un peu avant. Cette dernière est encore très présente.

Les traditions de la Comédie-Française sont alors influentes dans le monde du théâtre car elles vont jusqu'à être prises comme référence pour des théâtres à plus 1044km. Notre problématique : En quoi les traditions et les superstitions de la Comédie-Française en font un théâtre à part ? est donc justifiée.

samedi 16 février 2008

Rencontre avec Léonie Simaga

Une rencontre en deux temps


Rencontre du 15 février 2008 :

Léonie Simaga, actrice principale de Penthésilée est venue ce jour là dans notre lycée afin d'échanger quelques impressions concernant la pièce en question.

Durant cette rencontre, elle a répondue à toutes nos questions. Ces dernières évoquaient son parcours, son jeu de comédienne, ses rapports avec la Troupe et avec le théâtre en général. Elle nous a répondu d'une manière des plus naturelles. Ce qui a bien évidemment plu à l'ensemble de la classe.

Rencontre du 25 février 2008 : Rencontre reportée : 12 mars 2008

Nous avons l'honneur de vous annoncer que nous allons rencontrer Léonie Simaga personnellement, c'est-à-dire en dehors de notre lycée. Grâce à cette entretien personnel, nous allons évoquer avec elle ses rapports avec la troupe, avec les traditions et enfin ses propres superstitions. Tout cela dans le but de comparer sa vision avec celle de Clotilde de Bayser, soit de comparer une vision d'une pensionnaire avec celle d'une sociétaire du Français.
Nous sommes évidemment conscientes de la chance que nous avons.

Extrait des réponses de notre entretien :

Lorsque Léonie Simaga fit ses premiers pas sur scène à la Comédie-Française, elle eu beaucoup de soutiens au sein de la Troupe. Des comédiens déjà habitués au Français l’ont aidée à organiser son quotidien de pensionnaire. On pourrait par exemple citer Denis Poladylès qui est un sociétaire qui compte vraiment beaucoup pour cette toute jeune actrice. Son jeune âge a alors été un atout pour l’intégration à cette Troupe. Mais, après quelque temps passé auprès de cette dernière, elle s’est rendue compte que les rapports entre les comédiens étaient tout à fait normaux. En effet, on se retrouve dans une société identique à la nôtre où l’effet de Troupe n’est pas toujours présent. Évidemment, d’après Léonie Simaga, il y a plus de bons moments que de mauvais. C’est d’ailleurs pour ce fait qu’elle a décidé d’y rentrer mais surtout d’y rester

jeudi 7 février 2008

Une rencontre un peu particulière

En direct de Jean Renoir avec des étudiants du CFJ


Aujourd'hui, jeudi 07 février 2008, nous avons reçu la visite de plusieurs étudiants en journalisme. Tous sont en première année au CFJ (Centre de Formation des Journalistes).
Ils se sont présentés et nous en avons fait de même. Ils nous ont décrit brièvement leur parcours scolaire et on constate qu'ils sont assez différents les uns des autres. Certains ont été à la fac pour étudier l'Anglais, l'histoire, d'autres sont passés au préalable par des écoles préparatoires ou encore ont intégré Sciences-Po etc. Bref des parcours singuliers.
Ces étudiants vont nous aider à rédiger un article sur la pièce de théâtre Penthésilée. Nous avons déjà un peu commencé le travail par petit groupe d'environ 4-5 élèves et un étudiant. Deux questions nous étaient présentée: quelle scène nous a marquée et enfin qu'est ce qui nous a marqué dans cette scène (décors, jeu des personnages etc.). Avec l'étudiant qui était avec nous, nous avons tout d'abord parlé de la pièce en général. Ce qu'on en a pensé, la scène qui nous a donc marquée etc. Un dialogue s'est installé. Nous avons ensuite tentés de donc répondre aux questions en écrivant en quelque sorte un article. La tâche ne s'avérait pas facile ! Trouver une accroche, savoir exactement quoi dire... Pas si facile que ça en ait l'air. L'étudiant qui était avec nous, Hicham, nous a donné son avis sur ce que l'on avait écrit. Malheureusement, le temps était déjà écoulé. Le travail devrait normalement se poursuivre mardi après-midi.


Mes impressions:

Ce fut pour ma part une excellente rencontre avec ces étudiants du CFJ. Dans un premier temps car plus tard j'aimerai être journaliste donc le fait d'être en contact avec des étudiants m'a beaucoup intéressée de connaître un peu leur parcours, les concours qu'ils ont du passer pour en arriver là, etc. Et puis dans un second temps, ce qui m'a beaucoup intéressée c'est le travail que l'on fait ensemble. Je trouve enrichissant le fait qu'on puisse travailler parallèlement avec des étudiants en journalisme. Ce qu'ils vont nous apporter ne pourra être que bénéfique (enfin tout du moins pour ma part, j'ose imaginer que c'est le cas pour tout le monde !). J'ai vraiment hâte de pouvoir continuer ce travail qui, peut-être, renforcera encore mon idée de devenir dans le futur pourquoi pas, journaliste.
Emilie.

Mes impressions:

Cette idée m'est certes venue devant ma télé en regardant une Claire Chazal ou encore un Laurent Delahousse mais à chaque fois que j'imaginais y être, je refusais totalement d'être à leur place. Cette place m'apparaissait comme insurmontable, étant donné la pression qu'on leur donne. C'est pour cela que ce secteur était pour moi un trou très étroit. Je ne faisais alors aucune différence entre le simple pigiste et le présentateur télé. Tous apparaissaient à l'intérieur de ce trou où on ne pouvait même pas les différencier. Mais cette différence m'est apparue ce jour là. J'ai vu des étudiants décomplexés, des étudiants s'investir. Ou tout simplement des jeunes passionnés. Leur idée à eux, c'était le journalisme.
Je me dis alors que parfois, c'est mieux de s'échanger des idées au lieu de les prendre toute seule car on s'aperçoit tout de suite qu'on s'en faisait des mauvaises.
Stéphanie.

samedi 2 février 2008

Premier passage à l'oral

Une précision de plus


Alors qu'on touche la moitié de l'élaboration des T.P.E, nos professeurs ont voulu faire un point sur l'ensemble des projets de la classe. Vient alors notre tour.
Au début, avouons-le, on parle un peu de travers car un groupe de 35, soit 70 yeux fixés sur vous, ça impressionne quand même. Mais après quelques minutes, on est lancée dans notre démonstration. On enchaîne les explications, on cite des noms, on analyse, on fait des liens et on conclut.

Notre jury qui se composait de l'un de nos professeurs responsable du T.P.E, soit notre prof d'histoire-géo, nous a fait une remarque concernant notre problématique que nous avons trouvée troublante au début mais intéressante ensuite. D'ailleurs concernant nos inquiétudes, cela n'est absolument pas justifié. En effet notre fond est "bon" mais l'articulation est à revoir. D'après notre prof, on doit mettre plus de "mouvement". D'ailleurs, nous allons le faire pour mettre un terme à ce travail purement scolaire.

Le résultat, les modifications :

Nouvelle problématique... :
En quoi les traditions et les superstitions de la Comédie-Française en font un théâtre à part ?
...remplace l'ancienne qui était :
En quoi les traditions et les superstitions tiennent une place importante au sein de la Comédie-Française ?

On va donc étudier le fait que la Comédie-Française est une institution particulière et singulière, jusqu'à influencer, voire servir de modèle à d'autres théâtres.

Par conséquent les sous-parties de la partie "superstitions" vont être modifiées. C'est-à-dire, on va analyser le fait que certaines superstitions du théâtre tirent leur origine au sein de la Maison de Molière. On va également comparer les superstitions propres au Français avec celle des autres théâtres. Le but de tout cela est de dire que même les superstitions de la Comédie-Française divergent par rapport à celles du monde du théâtre.
Ce qui renforce notre conclusion qui tend à dire que le Français est un théâtre à part.

La présentation de notre projet (pour l'instant) :

Introduction :
Intérêt du sujet : Etude des traditions et superstitions de la Comédie-Française
Définitions : Tradition ; Superstition
Contexte : Histoire de la Comédie-Française (lieu, plan)

Problématique
:
En quoi les traditions et les superstitions de la Comédie-Française en font un théâtre à part ?

Plan
:
I. Les traditions de la Comédie-Française
II. Les superstitions au sein de la Comédie-Française
Etude de cas : Clotilde de Bayser (sociétaire)
? (pensionnaire)

Conclusion
: Théâtre singulier qui se différencie des autres, compte tenu des ses traditions, superstitions. Il est tellement particulier qu'il influence d'autres théâtres. (ex : Le Burgtheater s'est beaucoup inspiré du Français)

Nous avons l'intention de mettre au point dans les prochains jours l'intitulé exact de nos parties. De plus, nous envisageons d'autres rendez-vous certes ambitieux mais que nous avons l'intention de faire grâce au discours motivant de notre prof. Vous serez bien évidemment au courant car nous ne voulons pas vous le dire quand rien n'est encore fait...

samedi 26 janvier 2008

Penthésilée

LA soirée qu'on attendait tous.


Ce vendredi 25 janvier 2008 nous avons eu la chance d'assister à la couturière de Penthésilée. C'est assez exceptionnel car la couturière est réservée au personnel de la Comédie-Française et c'est la première fois qu'ils permettent à des personnes extérieurs au Français d'y assister. Nous étions situés dans les corbeilles. La pièce a commencée à 20h30. Et là à notre grand étonnement, nous avons constatés qu'il y eu des modifications de faites dans la mise en scène mais aussi dans certains costumes (par exemple celui de la Grande Prêtresse de Diane) par rapport aux répétitions auxquelles nous avions assistés quelques jours avant. Ce fût comme si nous redécouvrions la pièce, il y avait comme une part d'inconnu du fait de ces changements. 1h15 après le commencement, vint l'entracte. D'où nous nous sitiuons nous pouvions voir Jean Lermier et son assistante. Il avait l'air extrêmement concentré, comme stressé, quasiment aucune émotion n'était visible sur son visage. 15 minutes après, la pièce recommença. Du totalement inédit pour nous car aux répétitions nous n'avons pas vu cette partie sans doute la plus tendre car nous assistons à la scène d'amour entre Penthésilée et Achille et la plus cruelle car nous assistons à la mort, à la violence, des personnages - notamment de Penthésilée.

Rideau final, beaucoup d'applaudissements dans la salle. Les comédiens viennent saluer plusieurs fois. Jean Lermier avait l'air content, satisfait de la représentation. Il était beaucoup plus souriant !

Merci beaucoup de nous avoir permis d'y assister. Ce fût une très bonne soirée.

vendredi 25 janvier 2008

Compte rendu de la rencontre avec Joël Huthwohl

Cette rencontre : on pouvait pas passer à côté !


Tout d'abord, cette rencontre avec le bibliothécaire nous a ouvert les yeux. En effet, nous avions confondu "Traditions" et "Patrimoine".

Les traditions se transmettent à travers l'histoire depuis un événement important. Donc les éléments tels que l'architecture du Français, le fauteuil et la montre de Molière, le rideau, les peintures, l'environnement, le registre Lagrange... ne sont pas des traditions mais font partie du patrimoine.

Mais étant donné le fait que nous trouvons cela très important d'en parler, nous allons introduire une partie concernant le patrimoine. En effet, nous considérons que le patrimoine soutient en quelque sorte les traditions. Par exemple, c'est grâce à cet héritage que la Comédie-Française peut prétendre sa singularité.

Lors de notre interview, nous lui avons exposé notre plan et plus précisément la partie intitulée : "Histoires de trois femmes évoquant le Français". Évidemment cette partie n'existera plus. Car au sein de celle-ci il y a des informations qui ne correspondent pas. C'est-à-dire, nous avons présentées trois femmes qui sont : Sarah Bernhardt, Mademoiselle Rachel et Catherine Samie.
Par exemple, l'anecdote de Sarah Bernhardt qui avait marché sur la robe d'une sociétaire, rappelle le fait qu'il existe une hiérarchie au sein du Français. Joël Huthwohl a même rajouté que cette hiérarchie est encore présente mais à un niveau moindre. Il existe encore un ordre de préséance. On retrouve toujours sur les programmes ou dans les présentations, les sociétaires placés devant les pensionnaires.
Pour Mademoiselle Rachel, elle est passée inaperçue au début et après elle a connu le succès. Ce qui prouve que la Comédie-Française reçoit un bon nombre de journalistes et de critiques théâtre. Mais cette partie reste encore dans le domaine du doute.
Et en ce qui concerne Catherine Samie, Monsieur Huthwohl nous a soutenu que c'était un bon choix d'avoir étudié cette actrice car elle est restée 50 ans au Français, ce qui est plutôt rare. Donc grâce à ce passé, Catherine Samie a pu jouer un rôle très important dans la transmission du savoir, des traditions. De plus, elle a pris son rôle de doyenne d'une manière des plus remarquables. C'est ce rôle de "transmetteur" que nous allons exploiter.

Enfin, nous avons parlé de la Maison. En premier temps, nous avons évoqué les différents métiers d'époques existant au Français (machinistes, repasseuses, costumières...) Et notre attention s'est portée sur le brigadier qui tire non pas 3 coups comme dans tous les autres théâtres mais 6. Ils sont tirés en l'honneur de la jonction de la Troupe de Molière et celle de l'Hôtel de Bourgogne. Et ce brigadier est pour la plupart du temps le régisseur du plateau.

De plus, nous avons aussi éclairé le thème du répertoire du Français. On joue donc à la fois des pièces classiques, contemporaines, françaises et étrangères. Essentiellement au fait que la Comédie-Française s'est ouverte. C'est-à-dire, elle a connue une évolution de la vie théâtre, en prenant en compte qu'il y avait une part d'étranger qui venait en France. Et on peut aussi parler du fait que la France s'est ouverte à l'Europe. On regarde donc les autres et ils nous regardent également.

Nous sommes enfin passées à notre conclusion qui répond à la problématique : En quoi les traditions et les superstitions tiennent une place importante au sein de la Comédie-Française ? La réponse est évidemment oui ! D'ailleurs ce n'était pas une question mais une affirmation que nous devons démontrer.
Suivant notre démonstration, nous en avons déduit que les traditions et les superstitions sont à l'origine d'une identité. En effet, le Français est unique, singulier. Joël Huthwohl a même ajouté que certains théâtre dont celui d'Autriche s'est inspiré du mode de fonctionnement de la ruche.

Nous lui avons également parlé du décret de François Mitterrand concernant le Français. C'est en effet à partir de ce moment qu'on a proclamé la Comédie-Française comme un établissement public industriel et commercial (EPIC). Ce qui a donc rapidement renforcé l'identité de la Maison. Car quand cela est écrit, cela est lu et pris en conscience. On tient alors compte de l'histoire de la Comédie-Française.
On peut dire également que chaque français peut s'y retrouver, se reconnaître car elle tient une place dans la grande culture française.

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Deux nouvelles traditions viennent s'ajouter à notre projet grâce à Joël Hutwohl:

1°) L'alternance

Système unique au Français car aucun théâtre ne la pratique

Cela consiste à jouer plusieurs pièces de théâtre dans une même journée par exemple. Car la Comédie-Française est composée de trois salles (Richelieu, Studio-Théâtre, Vieux Colombier).

Ce système permet au public d'avoir le choix, car ils ont un catalogue de pièces qu'on peut aller voir. Ce qui est donc un plus pour les étrangers ou les provinciaux de passage dans la capitale.

2°) Le 14 juillet

Chaque 14 juillet, la matinée est gratuite pour l'ensemble du public. Et à la fin de cette journée, un comédien est chargé de chanter ou dire la Marseillaise.
Cela est très paradoxale dans le fond, car nous sachons que le Français à pris ses racines sous l'Ancien Régime et au final elle devient une institution à part entière de la République où l'on chante l'hymne révolutionnaire.
+ lors des journées du patrimoine, le Français est ouvert.

En remerciant Joël Huthwohl ainsi que Marine Jubin.

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Mes impressions :

Au début, je l'avoue, j'avais beaucoup d'appréhensions. En effet, Monsieur Huthwohl connaît une bonne partie de l'histoire du Français, donc j'avais peur de venir en tant que novice. Mais surtout sur le fait qu'il trouve que nous sommes totalement à coté de la plaque. Heureusement pour nous, notre projet ne comportait pas dans l'ensemble d'énormes fautes. Ce qui me rassura d'un coup. Car avoir un avis positif d'un bibliothécaire, c'est plutôt une bonne chose.
En conclusion, cette après-midi fût très enrichissante pour notre sujet. Cela nous a permis d'avancer, d'être sur de nouvelles pistes et d'être rassurées très rapidement.
Merci !

Stéphanie.

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Mes impressions :

Il est évident que cette journée nous a beaucoup apporté ! Elle nous a permis de nous rendre compte qu'en effet nous avions confondu "traditions" et "patrimoine". Nous avons un peu tout mis "dans le même sac". A nous maintenant de nuancer nos propos, de bien distinguer ce qui relève du domaine de la tradition et du domaine du patrimoine. Heureusement que cette journée a pû se faire sinon nous faisions fausse route en quelque sorte ! Cela me donne encore plus confiance en notre projet.

Nous prenons un nouveau départ.

Emilie.

lundi 21 janvier 2008

La rencontre avec Joël Huthwohl

Le jeudi 24 janvier 2008


Une rencontre importante que nous attendons avec impatience. En effet, Joël Huthwohl qui est l'un des bibliothécaire-archiviste de la Comédie-Française pourra nous l'espérons éclaircir certains points concernant les traditions du Français.
Par exemple, nous allons insister avec lui sur Mademoiselle Rachel ainsi que Sarah Bernhardt.
Car nous pensons que ces deux femmes sont extrêmement importantes au sein de la Maison et nous pensons avoir trouvées un rapport très intéressent entre elles et les traditions.
En effet leur histoire rappelle les traditions de la Maison. Par exemple, l'anecdote de Sarah Bernhardt (pensionnaire), qui est qu'elle s'est fait virée car elle avait marchée sur la robe d'une sociétaire rappelle le fait que la Comédie-Française possède un fonctionnement unique avec les pensionnaires, sociétaires et sociétaires honoraires.
Enfin, nous désirons en connaître un peu plus sur le répertoire de la Comédie-Française ainsi que sur les principaux peintres qui ont travaillés pour cette dernière.


Le compte-rendu de cette rencontre sera publié dans les jours à venir...

samedi 19 janvier 2008

Les superstitions

Explication de deux superstitions


Se dire "Merde" avant chaque représentation

Pourquoi ?

A l'époque les spectateurs qui étaient pour la plupart des nobles se faisaient conduire en calèche au théâtre. Par conséquent, on trouvait des voitures à chevaux qui attendaient la fin de la représentation devant le théâtre. Mais ces chevaux ne pouvaient s'empêcher de crotter.
Alors on retrouvait une montagne de crotin devant l'entrée donc plus la garniture était conséquente plus le succès de la pièce l'était.
C'est pour cela qu'il faut dire "Merde" à un acteur pour lui souhaiter du succès.


Ne pas siffler !

Pourquoi ?

Il y a en effet deux significations. L'une tend à dire que cela attire les sifflets du public. Ce qui est généralement très mauvais signe pour les comédiens. Et l'autre remonte au temps où les régisseurs du théâtre utilisaient des sifflements codés pour pouvoir manoeuvrer mais surtout communiquer pour les éventuels changements de décors. Alors si un acteur siffle, le brave régisseur peut comprendre que son collègue l'incite à descendre ou a monter une partie du décor. Donc on imagine bien la confusion au sein du plateau.


La liste des superstitions que nous connaissons à ce jour :


1°) Sur scène
- Ne pas porter de vert
- Ne pas dire « Corde »
- Ne pas siffler

2°) En coulisse
- Toucher le buste de Molière pour porter chance
- Tenir le bâton lors des premiers instants de comédien
- Ne pas offrir d’œillets à un comédien
- Se dire « Merde » ; sans dire « Merci » ensuite

Si vous désirez connaître l'origine des autres superstitions, vous pouvez consulter les archives de notre blog.

vendredi 18 janvier 2008

Journée du jeudi 17 janvier 2008

Une journée riche en émotion.


Ce jeudi 17 janvier 2008 fût un peu spécial.

En effet, nous avons passés la journée à la Comédie-Française. Au programme : de 10h30 à 12h15 rencontre avec Jean Liermier, metteur en scène de la pièce Penthésilée et de 13h30 à 15h30 répétition de la pièce de théâtre. Durant tout le long de la journée un journaliste du quotidien La Croix, un photographe et une équipe vidéo de la Fondation Jean-Luc Lagardère nous ont accompagnés afin d'effectuer des reportages sur le partenariat entre la Comédie-Française et notre classe.

Durant l'interview avec Jean Liermier, qui s'est déroulée dans une petite salle de répétition un peu en retrait se situant dans l'une des plus anciennes ailes du bâtiment, nous avons eu l'occasion d'en savoir un peu plus sur le métier de metteur en scène. Comment a-t-il fait pour réussir à mettre en scène la violence, la sauvagerie présente dans la pièce? Comment s'y est-il pris pour le choix des comédiens? Il nous parlé brièvement de son parcours de comédien et le fait aussi que cette expérience de comédien l'a sans aucun doute beaucoup aidé dans son métier de metteur en scène. C'est un homme très exigeant (avec lui même également) peut-être un peu trop, l'a-t-il avoué. Il se remémore, comment il était, à leur place, celle de comédien. Il sait ce qu'ils ressentent, alors il essaie alors d'être un peu plus "souple". En ce qui concerne le choix des comédiens, il s'est fait à partir "de la maison" il ne voulait pas faire appel à des comédiens extérieurs. Il a rencontré différents comédiens pour voir comment ils sont, comment ils se comportent sur scène ... En ce qui concerne Léonie Simaga (Penthésilée) il l'avait déjà repérée lorsqu'elle était au Conservatoire. Le nombre de personnages dans la pièce est assez restreint et cela est un choix volontaire : "Ce n'est pas Hollywood ..."

L'après-midi nous avons donc assisté au premier tableau de Penthésilée. Cela s'est déroulé dans la Salle Richelieu. Dans les premiers rangs se situaient l'équipe technique en quelque sorte. Il y avait bien sur Jean Liermier et son assistante (qui était également présente le matin). Après quelques minutes de réglages techniques, les lumières s'éteignent, le rideau se lève, les répétitions peuvent alors commencer. Le silence le plus complet règne dans la salle. On peut sentir un peu de tension, de stress. Certains acteurs ont des trous de mémoire : des personnes présentes en bas de la scène sont chargées de leur souffler le texte. On constate également à quel point cela n'est pas facile : certains comédiens sont mal à l'aise avec le décor, ils ont du mal à se déplacer à cause de sa hauteur. Le premier tableau est fini, les lumières se rallument, le changement de décors va s'effectuer. Jean Liermier monte sur scène voir Léonie Simaga et Eric Ruf (Achille) et nous devons alors partir.

Mes impressions :

Ce que je retiendrai de cette journée c'est sans doute la rencontre avec Jean Liermier. C'est quelqu'un qui m'a beaucoup marquée et aussi émue. Il est passionné par son métier ... et ça se voit. Cela fait plaisir de voir une personne aussi passionnée avec autant d'énergie. C'est une personne extrêmement simple, très humaine. Sa simplicité m'a également beaucoup marquée. C'est bien de voir une personne qui n'a pas "la grosse tête", qui sait rester très simple malgré le décor qui l'entoure. Je pense que cette rencontre a été enrichissante. La répétition fut tout aussi intéressante !

En conclusion, une très bonne journée.
Emilie.

Mes impressions :

Encore une fois, je ressors avec une très bonne impression concernant le personnel de la Comédie-Française. Cette "ruche" si accueillante et si ouverte m'impressionne.
Dire qu'il y a un an, je pensais que cette maison était austère, j'ai changé d'avis. En effet, notre venue n'est absolument pas pris comme un affront ou une contrainte. Et ça, on le ressent !
En ce qui concerne cette journée, j'ai trouvée Jean Liermier très respectable. Tandis, que d'autre respire la gloire et ne vit que pour la notoriété, lui n'entend que le terme : "passion."
De plus, les répétitions étaient très troublantes. Par exemple, j'ai été surprise par la capacité des comédiens à vivre la scène aussi naturellement. Prenons Léonie Simaga, qui en une fraction de seconde a changé d'attitude entre le moment où elle jouait et quand la première partie fut finit.
Le mot de la fin fut et est : impressionnant !
Stéphanie.

mardi 15 janvier 2008

La journée Molière

Le 15 janvier 2008 :



La troupe de la Comédie-Française fête l’anniversaire de Molière, acteur, chef de troupe, auteur, baptisé à Paris le 15 janvier 1622 sous le nom de Jean-Baptiste Poquelin. France Culture propose de 20h30 à 22h une soirée spéciale, présentée par Blandine Masson et Marc Voinchet en direct de la Comédie-Française, pour vous faire vivre l'ambiance et les coulisses de l'unique représentation de ce spectacle, mis en scène par l'Administrateur général de la Comédie-Française, Muriel Mayette. Dans l’enceinte de la Comédie-Française, Salle Richelieu, les Comédiens-Français interprètent des morceaux choisis de l’œuvre du maître, lui rendent hommage à travers un spectacle foisonnant qui réunit les membres de la troupe, les artisans et toutes les équipes de la Comédie-Française

Sources : France Culture

De plus, cette après-midi, une émission spéciale : Tout arrive présenté par Arnaud Laporte sera diffusée sur cette radio. Bien évidemment, nous ne pouvons pas la suivre compte tenu de notre emploi du temps. Mais heureusement que les podcasts sont disponibles sur le site !

Nous sommes en plein coeur de l'actualité qui se trouve être couplée à notre sujet : Les traditions.

jeudi 10 janvier 2008

Rencontre avec Clotilde de Bayser

Notre après-midi du 10 janvier 2008 :

Avant la rencontre :



Le fauteuil de Molière, une réplique deux fois plus grande que l'original attise beaucoup la curiosité des passants de la place Colette. Il est placé ainsi pour lui rendre hommage. En effet, comme chaque année, le 15 janvier se tient une représentation hommage à ce comédien emblématique. La tradition veut que chaque comédien porte son costume préféré et interprète un des morceaux appartenant à l'oeuvre de Molière. Bien évidemment cette soirée est déjà complète car elle est exceptionnelle. En effet, c'est l'une des seules fois où l'ensemble de la Troupe est présente sur le plateau. Donc on imagine l'émotion qui doit régner auprès des comédiens et des spectateurs. D'ailleurs d'après Clotilde de Bayser, sa première représentation hommage a été très intense car c'est la première fois où elle a pu voir la Troupe au complet mais surtout être à côté des acteurs qu'elle admirait.
Si vous désirez suivre en direct cette représentation, elle sera diffusée par France Culture le 15 janvier 2008.

La rencontre :


Durant la rencontre, la comédienne Clotilde de Bayser nous a naturellement ouverte sa loge. Comme vous pouvez l'imaginer, nous étions en plein cœur du quotidien d'un comédien. En effet, nous sommes rentrées dans l'intimité même. La loge en elle-même est plutôt agréable, d'ailleurs d'après Marine Jubin, elle peut s'apparenter à un petit studio.
Après s'être installer confortablement, nous avons pus commencer l'interview.

Voici le fruit de cette dernière :
Clotilde de Bayser a connu la passion du théâtre à l'âge de 15 ans au lycée. En effet grâce à l'une de ses amies, elle s'est inscrite dans un "club théâtre" de son établissement. Et c'est à partir de ce moment là qu'elle a commencé à y prendre goût. Évidemment, nous parlons d'un point de vue pratique car elle fréquentait assidûment les représentations du Français.

Ensuite elle effectua un stage au cours Florent en classe libre, Suivi d'une entrée au prestigieux Conservatoire. Elle va ensuite travailler pendant 10 ans en "free lance" avant de rentrer le 7 mars 1997 à la Comédie Française en tant que pensionnaire. Rappelons que la Comédie-Française recrute selon ses besoins et elle entretient un lien privilégié avec le Conservatoire. Par conséquent, la plupart des comédiens sont issus du Conservatoire et sont aussi tous uniques.

Au début Clotilde de Bayser trouvait un côté amusant car elle rêvait d'y côtoyer les acteurs qu'elle admirait étant jeune.
De plus l'ambiance du Français par rapport au Conservatoire était beaucoup plus agréable car moins stressante. Et la Troupe est réputée pour connaître une réelle solidarité entre comédien. Mais elle s'est rendu compte ensuite que le métier était plutôt difficile. En effet il faut constamment s'accrocher. Car il faut gérer les périodes d'inactivité où les possibilités de rôles sont moins importantes. Rappelons aussi qu'il existe moins de rôles féminins que masculins dans les pièces de théâtre d'époque. Évidemment, elle a ensuite ajouté que si c'était à refaire, elle le referait.

Enfin, le 1er janvier 2004, Clotilde devient la 509e sociétaire de la Comédie-Française. Ce qui lui donne à ce jour, une remarquable expérience. En effet, elle a pu assister à d'importantes modifications au sein du Français. Par exemple, elle a vu la Troupe changer. D'après elle, la Troupe a gagné en jeunesse, ce qui l'a rend plus homogène et moins hiérarchisé. De plus les rapports sont plus simples.

Ses propres superstitions :

Clotilde de Bayser connaît elle aussi le phénomène unique qu'il existe au Français, à savoir les superstitions. En effet, ces petites habitudes peuvent la rassurer avant de monter sur scène.
Par exemple, elle nous a expliqué qu'elle ne concevait pas qu'on puisse lui dire : "Bonne chance" ou encore "Bon courage" car pour elle cela est devenu "normal" de se dire : "Merde" avant chaque représentation. D'ailleurs, tous les comédiens ont pris cette habitude si connue et pratiquée dans les milieux artistiques.

Ensuite, elle a une grande peur d'oublier son texte. C'est donc pour cela qu'elle l'a toujours prés d'elle. Ainsi, elle peut le relire si elle a oubliée ne serait-ce qu'un mot qui peut être "fatal" lors d'un complet de vers par exemple car le texte n'a plus de sens. Pour l'anecdote, on voit souvent dans les coulisses des comédiens courir avec un air affolé cherchant leur texte ou "partitions" pour ensuite en revenir tout rassuré.

De plus, avant les représentations, cela est inconcevable pour elle de lire un texte qui ne soit pas son scénario.Elle ne peut pas aussi sauter un repas avant la pièce. Elle nous a avoué que si elle le faisait, elle n'aurait pas assez de force.

Enfin, elle trouve les superstitions tout à fait respectables. Car d'après elle, un comédien doit évacuer l'éventuel stress donc cela est un très bon moyen.

Après la rencontre :


A la fin de notre rendez-vous avec Clotilde de Bayser, nous avons rejoint Marine Jubin à l'étage des ateliers costumes. Par conséquent, nous avons aperçu dans les couloirs plusieurs cintres de costumes. Ils étaient pour la plupart d'époque. Les dentelles étaient alors plus que présentes pour notre plus grand plaisir. Ensuite Madame Jubin nous a proposé d'aller dans la Salle Richelieu. Bien évidemment nous avons tout de suite acceptées. Nous sommes alors rentrées dans cette salle et avons observé les ingénieurs du son qui travaillaient. Cela était très impressionnant, car il y avait un silence presque total. De plus, cela fait un énorme contraste avec les couloirs du Français. Tout semble si grand, en un instant.

Impressions :

J'ai effectivement passée une bonne après-midi. En effet, nous avons pu obtenir toutes les réponses à l'ensemble de nos questions auprès de Clotilde de Bayser. De plus, cette dernière m'a donnée une très bonne impression d'un point de vue humain ainsi que professionnelle.
Pour conclure, ce rendez-vous a été réussi.

Stéphanie.

En remerciant plus particulièrement Marine Jubin qui a été d'une grande aide pour la mise en place de cette rencontre.

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Impressions :

Comme le disait Stéphanie l'après-midi s'est très bien déroulée. Avec plus ou moins d'appréhension. En effet quelques minutes avant notre rencontre nous étions comment dire ... assez anxieuse. Pour ma part, j'étais assez impressionnée de pouvoir rencontrer une comédienne de la Comédie-Française. C'est quelque chose d'assez rare il faut le dire ! Malgré le fait que notre questionnaire était tout à fait au point depuis quelques jours, que nous savions exactement quoi dire, et bien le stress était quand même là ! Il ne fallait pas se "planter". Une fois dans la loge de Clotilde de Bayser, cela s'est passé. Elle a su nous mettre à l'aise. Et puis l'ambiance était chaleureuse, peut-être dû au fait que nous nous trouvions dans sa loge. Cela ressemble en quelque sorte à un studio. Je n'imaginais pas ça de cette façon. Finalement, notre questionnaire n'a été qu'un vaste support. Des questions qui n'étaient pas prévues sont venues, c'était sans doute plus naturel que d'appliquer à la lettre le questionnaire ! Ce fût vraiment une bonne après-midi et puis la petite visite du côté de la Salle Richelieu ... tout simplement magnifique ! J'attends jeudi 17 janvier avec impatience pour pouvoir mieux admirer cette fameuse salle.

Emilie.

mercredi 9 janvier 2008

Présentation du (nouveau) plan

Les traditions et les superstitions de la Comédie-Française.

Introduction :
Définition des termes traditions, superstitions et histoire de la Comédie Française.

Problématique :
Dans quelle mesure peut-on dire que les traditions et les superstitions au sein de la Comédie-Française sont-elles liées ?

Plan :
I/ Les traditions au sein de la Comédie-Française
Cette partie sera définie selon le rendez-vous prévu avec Joël Huthwohl (bibliothécaire archiviste)

II/ Les superstitions au sein de la Comédie-Française
1°/ Sur scène
2°/ En coulisse

Étude de cas :
Clotilde de Bayser
Léonie Simaga ?

mardi 8 janvier 2008

Questionnaire

Comme nous l'avons dis dans un article plus bas, jeudi 10 janvier 2008, une rencontre est prévue avec Clotilde de Bayser. Voici le questionnaire (qui n'est pas définitif à ce jour). L'article sera bien entendu actualisé avec les réponses.


Questions :

1°) Quel est votre parcours ?
2°) Etiez-vous consciente des nombreuses traditions et superstitions avant d’y rentrer ?

3°) Avez-vous des superstitions personnelles (hors mis celles du Français) ?
4°) A partir de quel moment avez-vous eu des superstitions ?
5°) Par rapport à la couleur verte et votre dernière pièce, comment auriez-vous réagie si les rubans étaient verts ?
6°) Gardez vous vos superstitions en dehors de la Comédie-Française ? Ou les gardez-vous juste pour le Français ?
7°) Dans le cas contraire, que pensez vous des superstitions ?
Conclusion : Que vous apportent les superstitions ?

8°) D’après Catherine Sammie (Racines et des Ailes) chaque nouveau comédien doit se mettre au milieu de la salle en possession du batteur et doit faire un vœu. L’avez-vous fait ? Votre vœu s’est-il réalisé ?

9°) D’après vous l’expression « Bienvenue à la maison » fait partie de l’ensemble des superstitions ou celle des traditions ?
10°) La troupe a-t-elle des superstitions ?

Encore une petite retouche

Est-ce une bêtise, une audace ?
De quel côté allons-nous nous positionner ?




Comme vous pouvez le remarquer, nous avons changé le titre de notre sujet. Du moins, nous avons rajouté le mot : superstition. En effet, on traitera en parallèle les traditions ainsi que les superstitions. Nous avons même la prétention de dire qu'elles ont un lien. Bien évidemment notre projet tiendra à vous le démontrer. De plus, cet objectif nouveau résulte pour nous d'une nouvelle motivation. Cela sera une sorte de théorie qu'on présentera à l'ensemble des professeurs et élèves et cette dernière sera bien entendu toute nouvelle dans le sens que jamais personne n'y a encore songé.