mercredi 27 février 2008

lundi 25 février 2008

Le Français inspire

Pour être précis, nous le sommes



Grâce à Joël Huthwohl, conservateur-archiviste de la bibliothèque-musée de la Comédie-Française, nous sommes désormais sûres que la Maison de Molière est un théâtre influent car ce dernier a inspiré le théâtre National de Vienne ; le Burgtheater (en photo ci-dessus). En effet, d'après le site internet de ce théâtre, ils ont, comme le Français, un Administrateur avec une multitude d'employés autour, un doyen, une Troupe, des costumiers, des décorateurs... De plus, on peut dire que le Burgtheater est la Comédie-Française de Vienne car on y joue beaucoup de scènes classiques avec entre autre un certain Goethe. On parle également d'alternance de la comédie et de la tragédie. Toutes ces caractéristiques sont celles de la Comédie-Française.

Donc, ce théâtre fondé au XVIII siècle s'est inspiré "dans les grandes lignes" de l'organisation du Français instauré un peu avant. Cette dernière est encore très présente.

Les traditions de la Comédie-Française sont alors influentes dans le monde du théâtre car elles vont jusqu'à être prises comme référence pour des théâtres à plus 1044km. Notre problématique : En quoi les traditions et les superstitions de la Comédie-Française en font un théâtre à part ? est donc justifiée.

samedi 16 février 2008

Rencontre avec Léonie Simaga

Une rencontre en deux temps


Rencontre du 15 février 2008 :

Léonie Simaga, actrice principale de Penthésilée est venue ce jour là dans notre lycée afin d'échanger quelques impressions concernant la pièce en question.

Durant cette rencontre, elle a répondue à toutes nos questions. Ces dernières évoquaient son parcours, son jeu de comédienne, ses rapports avec la Troupe et avec le théâtre en général. Elle nous a répondu d'une manière des plus naturelles. Ce qui a bien évidemment plu à l'ensemble de la classe.

Rencontre du 25 février 2008 : Rencontre reportée : 12 mars 2008

Nous avons l'honneur de vous annoncer que nous allons rencontrer Léonie Simaga personnellement, c'est-à-dire en dehors de notre lycée. Grâce à cette entretien personnel, nous allons évoquer avec elle ses rapports avec la troupe, avec les traditions et enfin ses propres superstitions. Tout cela dans le but de comparer sa vision avec celle de Clotilde de Bayser, soit de comparer une vision d'une pensionnaire avec celle d'une sociétaire du Français.
Nous sommes évidemment conscientes de la chance que nous avons.

Extrait des réponses de notre entretien :

Lorsque Léonie Simaga fit ses premiers pas sur scène à la Comédie-Française, elle eu beaucoup de soutiens au sein de la Troupe. Des comédiens déjà habitués au Français l’ont aidée à organiser son quotidien de pensionnaire. On pourrait par exemple citer Denis Poladylès qui est un sociétaire qui compte vraiment beaucoup pour cette toute jeune actrice. Son jeune âge a alors été un atout pour l’intégration à cette Troupe. Mais, après quelque temps passé auprès de cette dernière, elle s’est rendue compte que les rapports entre les comédiens étaient tout à fait normaux. En effet, on se retrouve dans une société identique à la nôtre où l’effet de Troupe n’est pas toujours présent. Évidemment, d’après Léonie Simaga, il y a plus de bons moments que de mauvais. C’est d’ailleurs pour ce fait qu’elle a décidé d’y rentrer mais surtout d’y rester

jeudi 7 février 2008

Une rencontre un peu particulière

En direct de Jean Renoir avec des étudiants du CFJ


Aujourd'hui, jeudi 07 février 2008, nous avons reçu la visite de plusieurs étudiants en journalisme. Tous sont en première année au CFJ (Centre de Formation des Journalistes).
Ils se sont présentés et nous en avons fait de même. Ils nous ont décrit brièvement leur parcours scolaire et on constate qu'ils sont assez différents les uns des autres. Certains ont été à la fac pour étudier l'Anglais, l'histoire, d'autres sont passés au préalable par des écoles préparatoires ou encore ont intégré Sciences-Po etc. Bref des parcours singuliers.
Ces étudiants vont nous aider à rédiger un article sur la pièce de théâtre Penthésilée. Nous avons déjà un peu commencé le travail par petit groupe d'environ 4-5 élèves et un étudiant. Deux questions nous étaient présentée: quelle scène nous a marquée et enfin qu'est ce qui nous a marqué dans cette scène (décors, jeu des personnages etc.). Avec l'étudiant qui était avec nous, nous avons tout d'abord parlé de la pièce en général. Ce qu'on en a pensé, la scène qui nous a donc marquée etc. Un dialogue s'est installé. Nous avons ensuite tentés de donc répondre aux questions en écrivant en quelque sorte un article. La tâche ne s'avérait pas facile ! Trouver une accroche, savoir exactement quoi dire... Pas si facile que ça en ait l'air. L'étudiant qui était avec nous, Hicham, nous a donné son avis sur ce que l'on avait écrit. Malheureusement, le temps était déjà écoulé. Le travail devrait normalement se poursuivre mardi après-midi.


Mes impressions:

Ce fut pour ma part une excellente rencontre avec ces étudiants du CFJ. Dans un premier temps car plus tard j'aimerai être journaliste donc le fait d'être en contact avec des étudiants m'a beaucoup intéressée de connaître un peu leur parcours, les concours qu'ils ont du passer pour en arriver là, etc. Et puis dans un second temps, ce qui m'a beaucoup intéressée c'est le travail que l'on fait ensemble. Je trouve enrichissant le fait qu'on puisse travailler parallèlement avec des étudiants en journalisme. Ce qu'ils vont nous apporter ne pourra être que bénéfique (enfin tout du moins pour ma part, j'ose imaginer que c'est le cas pour tout le monde !). J'ai vraiment hâte de pouvoir continuer ce travail qui, peut-être, renforcera encore mon idée de devenir dans le futur pourquoi pas, journaliste.
Emilie.

Mes impressions:

Cette idée m'est certes venue devant ma télé en regardant une Claire Chazal ou encore un Laurent Delahousse mais à chaque fois que j'imaginais y être, je refusais totalement d'être à leur place. Cette place m'apparaissait comme insurmontable, étant donné la pression qu'on leur donne. C'est pour cela que ce secteur était pour moi un trou très étroit. Je ne faisais alors aucune différence entre le simple pigiste et le présentateur télé. Tous apparaissaient à l'intérieur de ce trou où on ne pouvait même pas les différencier. Mais cette différence m'est apparue ce jour là. J'ai vu des étudiants décomplexés, des étudiants s'investir. Ou tout simplement des jeunes passionnés. Leur idée à eux, c'était le journalisme.
Je me dis alors que parfois, c'est mieux de s'échanger des idées au lieu de les prendre toute seule car on s'aperçoit tout de suite qu'on s'en faisait des mauvaises.
Stéphanie.

samedi 2 février 2008

Premier passage à l'oral

Une précision de plus


Alors qu'on touche la moitié de l'élaboration des T.P.E, nos professeurs ont voulu faire un point sur l'ensemble des projets de la classe. Vient alors notre tour.
Au début, avouons-le, on parle un peu de travers car un groupe de 35, soit 70 yeux fixés sur vous, ça impressionne quand même. Mais après quelques minutes, on est lancée dans notre démonstration. On enchaîne les explications, on cite des noms, on analyse, on fait des liens et on conclut.

Notre jury qui se composait de l'un de nos professeurs responsable du T.P.E, soit notre prof d'histoire-géo, nous a fait une remarque concernant notre problématique que nous avons trouvée troublante au début mais intéressante ensuite. D'ailleurs concernant nos inquiétudes, cela n'est absolument pas justifié. En effet notre fond est "bon" mais l'articulation est à revoir. D'après notre prof, on doit mettre plus de "mouvement". D'ailleurs, nous allons le faire pour mettre un terme à ce travail purement scolaire.

Le résultat, les modifications :

Nouvelle problématique... :
En quoi les traditions et les superstitions de la Comédie-Française en font un théâtre à part ?
...remplace l'ancienne qui était :
En quoi les traditions et les superstitions tiennent une place importante au sein de la Comédie-Française ?

On va donc étudier le fait que la Comédie-Française est une institution particulière et singulière, jusqu'à influencer, voire servir de modèle à d'autres théâtres.

Par conséquent les sous-parties de la partie "superstitions" vont être modifiées. C'est-à-dire, on va analyser le fait que certaines superstitions du théâtre tirent leur origine au sein de la Maison de Molière. On va également comparer les superstitions propres au Français avec celle des autres théâtres. Le but de tout cela est de dire que même les superstitions de la Comédie-Française divergent par rapport à celles du monde du théâtre.
Ce qui renforce notre conclusion qui tend à dire que le Français est un théâtre à part.

La présentation de notre projet (pour l'instant) :

Introduction :
Intérêt du sujet : Etude des traditions et superstitions de la Comédie-Française
Définitions : Tradition ; Superstition
Contexte : Histoire de la Comédie-Française (lieu, plan)

Problématique
:
En quoi les traditions et les superstitions de la Comédie-Française en font un théâtre à part ?

Plan
:
I. Les traditions de la Comédie-Française
II. Les superstitions au sein de la Comédie-Française
Etude de cas : Clotilde de Bayser (sociétaire)
? (pensionnaire)

Conclusion
: Théâtre singulier qui se différencie des autres, compte tenu des ses traditions, superstitions. Il est tellement particulier qu'il influence d'autres théâtres. (ex : Le Burgtheater s'est beaucoup inspiré du Français)

Nous avons l'intention de mettre au point dans les prochains jours l'intitulé exact de nos parties. De plus, nous envisageons d'autres rendez-vous certes ambitieux mais que nous avons l'intention de faire grâce au discours motivant de notre prof. Vous serez bien évidemment au courant car nous ne voulons pas vous le dire quand rien n'est encore fait...