mardi 25 décembre 2007


Nous vous souhaitons de passer de bonnes fêtes de fin d'année.

Emilie et Stéphanie.

mercredi 19 décembre 2007

Nouvelle sortie au Français

Découverte des ateliers costumes de la Comédie-Française




Durant cette après-midi, nous avons eu la chance de visiter les ateliers costumes. C'est-à-dire nous sommes montés au dernier étage de la Comédie-Française, pour observer le travail des costumières et costumiers. Nous avons vus plus particulièrement l'atelier destiné aux costumes des femmes, un autre destiné aux hommes et un dernier centré exclusivement sur le travail du repassage.
Les employés qui étaient pour la plupart des femmes travaillaient en petite communauté avec un air assez détendu. On pouvait voir chez eux, une réelle passion. Cette dernière était centrée plus particulièrement en la réalisation de costumes anciens. Cela s'explique sur le fait, que ces costumes présentent des couleurs, des techniques, des matières, une histoire donc une recherche beaucoup plus intéressantes que les costumes contemporains. De plus, on ne peut pas changer beaucoup plus l'allure des costumes d'époque. Nous avons aussi appris que tous les costumes étaient enregistrés, numérotés en ce qui concerne l'utilisation. Par exemple, une paire d'escarpin Louis XV possède sous le talon un numéro. Et grâce à ce dernier, on peut savoir qui les a portés ou quelles modifications ont été apportées.
Et tout à la fin de cette visite, nous avons pus découvrir le travail des repasseuses. Leur métier consiste en le repassage de textiles délicats suivant une méthode donnée. C'est-à-dire que pour repasser des fraises, elles agissent comme à l'ancienne. On a même eu l'occasion de voir une repasseuse le faire. (Nous avons une vidéo qui présente la technique de repassage, mais hélas nous ne pouvons la mettre du à sa taille trop importante.)

En ce qui concerne notre sujet, nous avons pus avoir quelques informations intéressantes. Par exemple, ne pas porter de vert est une superstition et non une tradition, en effet plusieurs comédiens n'y font plus attention et on a pu voir des tissus verts sur les tables des costumières. D'ailleurs cette couleur était celle de l'habit de Molière lors de son décès. Cela reste très subjectif car d'après les espagnols, il est mort en jaune. Mais surtout cela s'explique sur le fait que cette couleur verte était à l'époque composée d'arsenic qui était très probablement à l'origine d'intoxications chez les comédiens du fait de la chaleur. Rappelons aussi que Judas portait du vert. L'un des costumiers nous a aussi parlé d'un mot qui ne faut jamais dire sur scène et en coulisse : "corde". Car les machinistes des théâtres étaient d'anciens marins et chaque lieu a un nom et une utilisation précis. Seule une ne portait pas de nom et était nommée "corde". C'était celle qui servait à tirer la cloche avec laquelle on saluât les morts. Et si ce mot était prononcé, le fautif devait payer la tournée de vin blanc à tout le monde.

Avant la rencontre


Étant donné le fait que nous sommes arrivées en avance à notre rendez-vous, nous avons fait un petit détour vers les colonnes de Buren ainsi que les jardins. Comme nous le démontrait le reportage "Des Racines et des Ailes", cet endroit est très calme et très beau. En effet, nous avons l'impression de sortir d'un grand carrefour qu'est la place Colette pour nous retrouver dans un petit havre où seuls les bruits de la fontaine et des volatiles retentissent. Pour anecdote, nous avons crus reconnaître le célèbre monsieur "aux pigeons" qui donne des noms à ces derniers, en effet c'était la seule personne qui était assis sur un banc avec une multitude d'admirateurs poussant des petits gloussements. Ensuite, nous avons fait un détour devant les magasins entourant les jardins. Les boutiques présentaient pour la plupart des chaussures dont les prix étaient étonnants.
En conclusion, je retiens de cette journée beaucoup de choses intéressantes de tous les points de vues.


Les photos de cet article ont été prises par nos soins.

vendredi 14 décembre 2007

Nouveaux objectifs

Nous voilà chargés de nouveaux bagages d'idées !


Romain Duris dans le film Molière

Nous avons une nouvelle fois précisés notre sujet, en effet nous avons décidés de faire un nouveau plan un peu plus complet :

I/ Les traditions de la Comédie-Française liées...
1°) Le fantôme de Molière ?
2°) ?

II/ ...à des superstitions au sein de cette dernière...
1°) Les superstitions présentes sur scène...
2°) ... ainsi que dans les coulisses.

III/ ...ainsi que des superstitions propres aux comédiens.
1°) Les superstitions personnelles de Clotidle de Bayser...
2°) ... ainsi que celle de ?

Voilà, à quoi notre plan ressemble pour l'instant, nous allons donc vous expliquez ce qu'on a déjà trouver et comment va t'ont s'y prendre.

Premièrement grâce aux rencontres que nous allons faire, nous allons pouvoir combler le III. 1°), en effet nous avons la chance de rencontrer Clotilde de Bayser, le 10 janvier 2008. Ensuite, la semaine suivante, le 17 janvier 2008, nous allons rencontrer Joël Huthwohl qui est l'archiviste de la Comédie-Française, donc grâce à cette grande aide, nous allons pouvoir compléter notre II. ainsi que notre I.

Deuxièmement, nous avons déjà trouver 8 catégories de superstitions qui sont :
1) Les trois coups
2) Jamais porter de vert
3) Représentation hommage à Molière
4) Toucher le buste de Molière pour porter chance
5) Tenir le bâton au milieu de la salle Richelieu lors des premiers instants de comédien
6) "Merde"
7) L'histoire des roses
8) "Bienvenue à la Maison"

Malheureusement, certaines de nos superstitions correspondent en réalité à des traditions. Nous attendons notre rencontre avec Joël Huthwohl pour plus de précisions. Celles qui apparaissent en italique sont concernées.

Troisièmement, en ce qui concerne les traditions, nous y travaillons actuellement mais nous avons déjà quelques pistes comme le fantôme de Molière. En effet Molière est un personnage dont l'histoire et le parcours est constamment présent au Français, d'où le nom de Maison de Molière. Cet icône est très adulé des comédiens, on peut penser à la représentation hommage en son nom. Nous pensons également au style architectural du Français ainsi qu'à sa décoration. On peut même s'intéresser au moment du grand incendie de 1900, en se posant la question qui est : "pourquoi n'avoir rien changé ou innové alors que cela aurait pu être un prétexte ?"
Nous attendons enfin une aide mais surtout plus d'informations auprès de Joël Hurthwohl.

Dernièrement, pour expliquer notre plan, en ce qui concerne les relations entre les traditions et les superstitions, nous avons d'abord pris comme exemple : Molière. En effet ce dernier est un comédien qui représente à lui tout seul une immense tradition. Il est la figure emblématique de la Comédie-Française, de plus son histoire est transmise au fil du temps à chaque comédien qui le prend comme modèle. Et c'est à partir de ce moment là que les superstitions apparaissent, on peut penser au fait que les comédiens touchent à chaque fois le buste de Molière pour se porter chance par exemple. Le lien est donc expliqué.

Mes impressions :

Je suis plutôt satisfaite de notre projet, en effet nous avons réussi à avoir deux rendez-vous grâce à l'aide de Marine JUBIN, ce qui est pour moi quelque chose de très important car j'aime quand les choses sont concrètes. Ensuite, je suis rassurée du rythme que nous prenons. En effet, nous ne sommes en aucun cas "non-initiées" au T.P.E.
Je tire donc que des points positifs auprès de mon binôme et de notre projet.
Stéphanie.

mardi 11 décembre 2007

Prochaine(s) rencontre(s)

Clotilde de Bayser : 10 janvier 2008 à la Comédie-Française
Joël Huthwohl : 17 janvier 2008 à la Comédie-Française

Bien évidemment ceci est une grande chance pour nous car nous aurons l'occasion d'avoir des réponses à nos nombreuses questions. En effet, nous allons faire une partie consacrée essentiellement aux superstitions de Clotilde de Bayser et Joël Huthwohl pourra grâce à sa profession nous éclaircir sur le "pourquoi" de certaines traditions et superstitions.

L'essentiel du produit de ces rencontres sera publié sur ce blog afin que l'ensemble de la classe puisse y accéder dans le cadre de leur T.P.E.

lundi 10 décembre 2007

Première sortie à la Comédie Française

Les portes de la Comédie-Française nous sont à présent ouvertes !




Voilà, nous sommes rentrés pour la première fois au sein de la Comédie-Française dans le cadre de notre projet. En effet, nous avons été conviés à assister à une conférence concernant les mécénats du Français dans la salle Pierre Dux. Par conséquent Delphine De GOUYON nous a présenté et expliqué les liens entre les entreprises et la Comédie-Française. Elle a aussi fait une nette différence entre les partenariats, les mécénats ainsi que les galas. Mais pour focaliser son discours sur notre sujet, elle a pour notre plus grand bonheur expliqué le sens du symbole de la Comédie-Française. C'est-à-dire,on compare le Français à une ruche car ce dernier offre beaucoup de services, bénéficie de salles polyvalentes, mais surtout contient beaucoup de métiers (25). Donc il y a beaucoup de personnes qui se croisent. La métaphore ainsi utilisée convient parfaitement. De plus, on se demande qui pourrait être la Reine ? Peut-être Molière ? On parlerait donc d'un Roi ?

Durant ce discours, nous étions particulièrement bien installés, pour notre part on était assises sur un magnifique canapé style Louis XV où j'ai tout de suite appréciée la texture et le confort qui nous apportait. Il y avait aussi un très beau plafond où nous avons remarqués que deux dates apparaissaient, celle de 1680 et 1900. C'est là, qu'on a fait le lien avec la date de la création de la maison et la date du grand incendie. On peut donc supposer que les plafonds on été fait en 1680 et refait en 1900. Cela va paraître un peu étrange, mais c'est à ce moment là que j'ai compris que nous avions une énorme chance qui est de s'infiltrer au sein de ce théâtre en apprenant beaucoup et toujours plus sur ce dernier.

Enfin après avoir écouté le discours de ces dames et prit un petit cocktail, nous avons eu la chance de rentrer dans la salle des portraits de la Comédie-Française en faisant évidemment un petit passage auprès du fauteuil de Molière. La photo ci-dessus en témoigne. (photo prise par nos soins)

Viens ensuite l'heure de partir et rentrer sur Bondy. Le mot de la fin fut : étonnement.
Stéphanie.

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En effet notre première visite à la Comédie-Française s'est enfin faite ! Très impressionnée par l'architecture, les décors ... C'était tout simplement magnifique. Il faut dire qu'avec Stéphanie nous sommes restées un long moment le nez en l'air à regarder le plafond mais aussi tout ce qui nous entourait. Et encore, nous n'avons vu qu'un tout petit morceau du Français ! Un autre rendez-vous est prévu le jeudi 20 décembre afin de visiter les ateliers costumes. Je pense que nous ne sommes pas au bout de nos surprises ... Nous attendons jeudi 20 avec impatience !
Emilie.

jeudi 29 novembre 2007

Le début d'un commencement

Notre sujet prend forme


Après 1 mois et demi du lancement de notre projet, nous avons enfin sous la main un plan qui semble être approprié à notre sujet. Nous avions au début pensé traiter les traditions d'hier à aujourd'hui, c'est-à-dire en quoi les traditions ont-elles évoluées au cours du temps.

Mais nous avons réalisées que nous possédions plusieurs opportunités, par exemple rencontrer les comédiens de la Comédie-Française.

Par conséquent, nous avons décidées de changer notre plan et de faire une partie sur les traditions des comédiens.

En résumé notre plan sera de la forme suivante pour le moment :

I/ Les traditions de la Comédie-Française
1°) Sur scène
2°) Dans les coulisses

II/ Etude de cas de deux comédiens
1°) Comédien avec une grande expérience
2°) Comédien avec une petite expérience

mardi 20 novembre 2007

Les colonnes de Buren ont-elles leur place à la Comédie-Française ?


Peut-on installer une œuvre contemporaine dans un site historique classé sans pour autant offenser les traditions ?

Oui ! Et les colonnes de Buren en sont l'exemple même.

Les colonnes de Buren ont été commandées en 1985 par le ministre de la culture ; Jack Lang. Ces colonnes créées par Daniel Buren doivent prendre place dans la cour d'honneur du Palais-Royal. Donc au sein même de la Comédie-Française.

Bien évidemment, comme tous français qui se respectent, on pense que chaque changement de notre patrimoine est une mauvaise chose qui dénature l'espace. On finit même par croire que les français qui sont les premiers de la classe en art sont hostiles à toute forme de renouveau artistique. L'histoire peut même en témoigner. On peut se rappeler de l'histoire de la construction de la Tour Eiffel en 1889, ou encore celle du centre Georges Pompidou en 1977. Suivis de la polémique de la pyramide du Louvre bien après.

Donc comme ces dernières, une certaine passion à la française est née auprès du projet des colonnes. En effet, plusieurs campagnes de presse, dépêches d'agence, traitements de radio et télé (...) et même un bon nombre de courrier de français remit en cause la construction.

On assiste ensuite à une multitude de péripéties allant du rejet émanant de la commission supérieur aux plaintes juridiques.

Mais en 1986, la majorité politique bascule, il y a donc un nouveau ministre de la culture qui remplace Jack Lang et celui ci est François Léotard. Tout le monde attend bien évidemment de la part du ministre un arrêt de la construction des colonnes ou un déplacement de l'oeuvre.
L'actuel ministre après quelque temps de négociation va mettre un terme à cette polémique en laissant l'oeuvre dans le site.
Pour anecdote, les plus hostiles aux colonnes vont même écrire sur les palissades censées cacher le chantier des phrases tel que "Jack l'éventreur" en référence à l'ancien ministre de la culture.

Mais heureusement, bien après le passage de la polémique, les français vont enfin apprécier les colonnes. On aime dorénavant l'esthétique de l'oeuvre. Cela prouve donc qu'avec le temps on s'habitue et on peut même aimer !

Les colonnes de Buren font maintenant l'unanimité auprès du grand public et sont même devenues un emblème du Palais-Royal.

On finit donc par croire que l'audace est une vraie qualité !

De plus, on peut penser que le Palais-Royal est un laboratoire d'art contemporain ? Le kiosque des Noctambules peut en témoigné.

Je pense que cela ne fait pas de mal à une chose qui est jugée classique de côtoyer une autre qui elle est originale. Et pour l'exemple du Palais-Royal, celui lui donne encore plus de caractère qu'il n'en avait avant.

Les colonnes de Buren ont donc leur place à la Comédie-Française. Et n'offensent en aucun cas les traditions de cette dernière.

lundi 12 novembre 2007

Visionnage de l'émission : Des Racines et des Ailes spécial Comédie Française

Recherches :

Une histoire de fleurs à la Comédie-Française

Les fleurs constituent une grande tradition au sein de la maison de Molière. En effet, après les oeillets et les roses, voici maintenant l'entrée des violettes.
Durant, l'émission, la doyenne a avouée au présentateur qu'elle avait un petit rituel. Ce petit rite consiste à déposer des violettes sur le buste de Molière qui se trouve dans l'escalier des comédiens. La doyenne a même rajoutée qu'elle ne se privait pas de déposer quelques bisous avec ses violettes.

Buste de Molière sculpté par Houdon


Stéphanie.

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En effet ce premier visionnage du magasine nous a apportés des informations supplémentaires concernant notre sujet ...

Chaque année, à une date précise, les comédiens du Français rendent hommage à Molière. Cet hommage ce fait tout les 15 janvier, date du baptême de Molière. A cette occasion les comédiens mettent leur costume "préféré" et à la fin de la représentation de la pièce, les comédiens arrivent tous ensemble sur la scène. Au centre se trouve le buste de Molière et chaque comédien se place à côté et prononce une citation d'une des pièces (par exemple) du dramaturge. C'est pour eux quelque chose de très important et sans doute émouvant.

Comme le disait Stéphanie, des bouquets de violettes sont déposés aux côtés du buste de Molière et parfois certains comédiens caressent le buste. Tradition ? Ou pure superstition de la part des comédiens ? ...

Une autre petite découverte ... Une jeune comédienne raconte que lorsqu'elle venait de signer le contrat, la doyenne l'a emmenée sur scène. La jeune comédienne a dû se placer au centre de la scène, prendre le batteur (bâton servant à frapper les coups), le tenir dans ses mains et faire un voeu.

Nous avons également découvert les coulisses des costumes ... Tout simplement époustouflants ! Je pense que nous ne sommes pas au bout de nos surprises ...

Emilie.

lundi 29 octobre 2007

Un nouvel outil : l'INA

INA : Institut National de l'Audiovisuel


Je pense que grâce à ce site, nous allons pouvoir trouver plusieurs vidéos sur le thème des traditions de la Comédie-Française.
Par exemple, j'ai trouvée cette vidéo qui explique pourquoi on tire 6 coups au début de chaque scène :

Ainsi qu'une vidéo qui parle du financement de la Comédie-Française. Cela nous informe que le financement existe depuis 1680 en effet ce Théâtre bénéfice de subventions de l'Etat depuis sa création. Voici l'extrait :

http://www.ina.fr/archivespourtous/index.php?vue=notice&from=themes&code=C0524209458&num_notice=3&total_notices=3

De plus, il y a pleins de petits reportages sur les métiers de la Comédie-Française, son histoire, les décors...
C'est un site que nous allons évidemment exploiter car celui-ci va énormément nous aider en terme historique.

Stéphanie.

dimanche 28 octobre 2007

La visite de Marine JUBIN

Recherches :

Grâce à la visite de Madame JUBIN, nous avons pus récolter quelques pistes concernant notre sujet. Comme par exemple à l'époque, quand un comédien du Français allait se faire licencier, on lui déposait des œillets devant sa loge et quand celui-ci restait on lui déposait des roses. Cela explique donc le fait qu'aujourd'hui cela est très mal vu d’offrir des œillets à un comédien. On risquerait même de se les recevoir en pleine figure, c'est bon à savoir... Mais cela a changé aujourd’hui dans la manière, en effet, quand un comédien doit quitter la troupe pour divers raisons, l’institution le prévient par lettre.
Ensuite, elle nous a parlé du placement du Roi et de la Reine dans le théâtre de la Comédie-Française. En effet, le Roi qui était une personnalité très importante à l’époque se plaçait coté cours, soit du coté gauche. De plus ce dernier se positionnait à cet endroit pour être vu car il était proche de la scène. (Dans le 17 du journal du Théâtre, page 10-11 il y a une représentation d’une gouache sur papier rectangulaire Anonyme présentant des spectateurs placés sur la scène. On s’imagine donc grâce à cette représentation, la place du Roi qui était extrêmement voyante) Tandis que de nos jours, les personnalités importantes se placent elles dans la corbeille pour au contraire ne pas être vu ou pour échapper aux médias. Et enfin, le terme coté cours ainsi que coté jardin sont restés dans les moeurs.

Impressions :

J’ai trouvé les deux heures de visite de Madame JUBIN très intéressantes, c’est-à-dire elle nous a parlé de tout ce qu’on allait faire et de tout ce dont on a la chance de bénéficier. Cette visite m’a aussi beaucoup troublée, car au début je ne pensais vraiment pas que notre partenariat allait être aussi organisé, réalisable, et surtout qu’on pouvait approcher voire discuter avec des personnes de la Comédie-Française si naturellement. Car Madame JUBIN, nous a assuré que la Comédie-Française était très ouverte, du moins que toutes les personnes étaient à notre écoute, nous petits lycéens de Première. Je trouve cela très impressionnant d’avoir un partenariat car cela nous permet d'être en contact avec des personnes d’une prestigieuse institution mais surtout avec des personnes qui sont considérées comme importantes dans le domaine de la culture. Tout d'un coup, on se sent extrêmement proche de quelque chose qu'on n'aurait même pas imaginé, à savoir : la Comédie-Française.

Stéphanie.

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Recherches :

Comme l'a dit Stéphanie précédemment, Jeudi 25 Octobre Madame Marine JUBIN - chargée des relations publiques - nous a rendu visite au lycée pour mieux nous expliquer en quoi consistait ce partenariat avec la Comédie-Française, comment allait-il se passer. Ce partenariat est divisé en deux "parties":


-la première partie, le point de départ, est la pièce de théâtre Penthésilée, de Kleist. Une rencontre avec Léonie SIMAGA jouant Penthésilée est prévue. Nous sommes également invités à la couturière qui est la dernière répétition.


-la deuxième partie consiste en la découverte des métiers du spectacle (artistique, administratif, technique).


Au final une brochure de la présentation de la Comédie-Française sera effectuée autour de la pièce Penthésilée. La présentation de cette brochure se fera fin mai du Studio théâtre. Elle nous a donné plus de détails sur la Comédie-Française (son fonctionnement etc) et a demandé à chaque groupe de présenter son sujet de TPE et pourquoi le groupe avait choisi ce sujet. En ce qui concerne notre sujet, nous avons déjà quelques éléments. Au par avant il y avait la tradition de la rose et de l'oeillet. Une rose était remise dans la loge du comédien s'il restait au sein de la Comédie-Française et un oeillet si inversement il était licencié. Compte tenu de notre époque cela serait très mal vu! Le vocabulaire utilisé est encore très lié aux traditions. En effet avant la Comédie-Française accueillait des opéras, il y a donc la place pour l'orchestre. Ce terme "orchestre" ou "par terre" est toujours présent : ce sont les places se situant justes devant la scène. Il y a aussi ce que l'on appelle "côté cours", "côté jardin". Ces termes sont liés au Roi. Ces côtés cours et jardin sont proches de la scène, le Roi et sa famille pouvaient donc être vu de tous. De nos jours cela est totalement différent, les places les plus convoitées sont dans la "corbeille" du fait de sa position centrale. Ces termes étudiés concernent la salle Richelieu.


Impressions:


J'ai été agréablement surprise de cette visite. Quand on nous avait annoncé ce partenariat avec la Comédie-Française, au premier abord je n'étais pas très "enthousiaste". Je me demandais comment cela allait se passer, j'attendais d'avoir plus de précisions, et la visite de Madame JUBIN m'a vraiment motivée dans la réalisation de ce projet. J'y ai vraiment trouvé un intérêt et je suis maintenant très impatiente, curieuse, d'aller plus loin, de découvrir comment cette maison fonctionne et surtout d'y aller! Je me rends maintenant un peu plus compte de la chance que nous avons d'avoir ce partenariat (qui n'est pas donné à tout le monde!) et je me dis que finalement cela ne pourra être que bénéfique car je vais pouvoir découvrir un univers auquel je ne me serai sûrement pas intéressé seule!


Emilie.

samedi 27 octobre 2007

Présentation

Qui sommes nous ?

Nous sommes deux jeunes filles de 16 ans et nous étudions au lycée Jean Renoir de Bondy (93) en 1ère Economique et Social.

Emilie ROUSSEAU :


Stéphanie LABARRE :
stephanie.labarre@yahoo.fr

Quel est notre projet ?

Dans le cadre des T.P.E et d'un partenariat avec la Comédie-Française, nous avons choisis comme sujet : Traditions et superstitions de la Comédie-Française. Où nous établirons la plupart des traditions, ce qui nous amènera donc à une étude des superstitions.
Et puis nous allons faire une étude de cas auprès de deux comédiens, l'un avec une grande expérience et l'autre avec une petite expérience au Français concernant leur propre superstition.

Mais pourquoi un blog ?

Nos professeurs nous demandent durant le temps des T.P.E de tenir un journal de bord. C’est-à-dire que ce journal doit retracer toutes nos démarches, ce que nous avons appris, ce que nous voulons faire. Mais nous trouvons que faire un blog au lieu de faire un journal de bord est plus intéressent. En effet, faire un blog nous permet de mettre par exemple des photos ou encore des enregistrements d’interview effectuées. Mais surtout, cela permet aux professeurs et aux personnalités rencontrées de suivre notre travail.

Cela démarre quand ?

Notre T.P.E commence maintenant et se terminera en mars d'un point de vue académique mais la véritable fin sera le 9 juin 2008 lors de la soirée au Studio-Théâtre où nous présenterons nos projets.
Donc le travail reste encore à venir.
C'est pour cela qu'on va dès maintenant s'occuper de cette grande institution pour trouver un maximum d'informations et si possible des petites histoires ou même des petites rumeurs que personne ne sait, encore...
On y court !

Isabelle Adjani, Comédie-Française, Paris, Avril 1977